Expositions à Zürich, Genève et Londres
Choix de photos diverses tirées en format 120x85
Septembre 2014
New York 2018
Religious renewal…
And they killed each other because their god said so…
This is Central Europe, this is where not so long ago, less than 20 years, some people massacre their neighbours and obviously local icons were not involved or able to do anything about it… Well let’s keep the faith than.
“Open up the gates of the church and let me out of here
Too many people have lied in the name of Christ
For anyone to heed the call
So many people have died in the name of Christ
That I can't believe it all”
Crosby Still & Nash
Des visages, des croyances, des Hommes en quête de réponses...
Delhi - Varanasi 2017
Reconnaissez l'ego pour ce qu'il est : un dysfonctionnement collectif, la folie de l'esprit humain. Lorsque vous le reconnaissez pour ce qu'il est, vous ne le prenez plus pour l'identité d'une autre personne.
Une fois que vous le voyez pour ce qu'il est, il est plus facile de ne pas y réagir. Vous ne prenez plus les choses personnellement. Il n'y a plus récrimination, reproches, accusations, tort.
Personne n'a tort. C'est l'ego. C'est tout. La compassion naît quand vous reconnaissez que tout le monde souffre de la même maladie mentale, certains davantage que d'autres.
Alors vous n'alimentez plus le drame qui est propre à toute relation fondée sur l'ego. Quel est le combustible du drame ? La réactivité. L'ego s'en repaît.
ੴ : Ik Oankaar
ਸਤਿਨਾਮ: Satinaam
ਕਰਤਾ ਪੁਰਖ: Kartaa Purakh
ਨਿਰਭਉ: Nirbhaou
ਨਿਰਵੈਰੁ: Nirvairu
ਅਕਾਲ ਮੂਰਤਿ: Akaal Moorati
ਅਜੂਨੀ: Ajoonee
ਸੈਭੰ: Saibhan
ਗੁਰਪ੍ਰਸਾਦਿ: Gurprasaadi
Toi qui, comme un coup de couteau,
Dans mon coeur plaintif es entrée;
Toi qui, forte comme un troupeau
De démons, vins, folle et parée,
De mon esprit humilié
Faire ton lit et ton domaine;
— Infâme à qui je suis lié
Comme le forçat à la chaîne,
Comme au jeu le joueur têtu,
Comme à la bouteille l'ivrogne,
Comme aux vermines la charogne
— Maudite, maudite sois-tu!
J'ai prié le glaive rapide
De conquérir ma liberté,
Et j'ai dit au poison perfide
De secourir ma lâcheté.
Hélas! le poison et le glaive
M'ont pris en dédain et m'ont dit:
«Tu n'es pas digne qu'on t'enlève
À ton esclavage maudit,
Imbécile! — de son empire
Si nos efforts te délivraient,
Tes baisers ressusciteraient
Le cadavre de ton vampire!»